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J’avais cru que l’oiseau c’était la liberté.
Avec ses ailes transportait le chant d’amour,
allégeant les souffrants et les prisonniers,
qui comptaient l’instant de chaque jour,
J’avais cru que les nuages c’étaient la liberté.
Au fond de l’océan un vent les a écarté,
Foudroyant le ciel crachant sa pluie,
et se dégage d’un nuage couvert de gris,
J’ai vu un nomade, il paraissait liberté.
Il habitait toutes les rues sans aucun but clair,
la vie des gens c’est sa vie, sous les toits est abrité,
le ciel c’est sa couverture, son lit c’est la terre,
Liberté où es tu ?
Elle est,
Chez tous les artistes qui amènent une création,
En s’exprimant librement sans faire attention,
Au fond de l’art, l’artiste posera sa plume,
sans user la toile , ni qu’il l’abime,
Tu es un grand cœur qui inspire,
de cette nature et ses aventures,
ton art est une liberté de peinture ,
les étoiles si lointaines, miroir où tu te mires !
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