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Une année qui s’ajoute trop.
Cavalier qui oubli le trot.
Villageois presque dans cette ville
Des gars dansent en guenille.
La l’arme vient de triompher
Un abcès s’affiche, trophée.
La larme s’échappe du vieux.
L’attaque les envieux.
Incompris et à peine né.
Matière grise éternuée.
Ciel noir crache ses pleurs.
Visions d’engins, la douleur !
Un regard et tous ces vaisseaux.
Le boum fait fuir les vassaux.
Même pas peur, le soldat est.
La trouille pour celui là j’ai.
L’eau et ce fils au combat.
Un homme écœuré mais se bat.
Soucoupes comme gazelles,
J’ai connu l’extase, ses ailes.
Apocalypse devant nous.
Face à toi je suis à genoux.
J’ai combattu ce diable.
Haïe Dieu formidable...
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