Les yeux tout en haut des chalets pétillent.
La queue du canidé tout près frétille.
Un chien aboie, il repousse cette nuit.
Son cri primaire repousse tout mon ennui.
A cet instant le bonheur tutoie l’âme.
La joie sur mes joues fait couler la larme.
J’apprécie ce moment, ce privilège.
Le bonheur m’atteint porté par ce liège.
On entend le loin et pas l’alarme.
La paix étreint et embrasse tout ce calme.
Monde doux, plus tendre que le baiser.
Je t’embrasse loin de ceux qui ont biaisé.
J’entends là-haut le plus beau des préludes.
La certitude épouse la plénitude.
Ta prose transporte et donne envie de vivre.
Un parfum indiciblement m’enivre.