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C’est l’heure où mes paupières
S’ouvrent de joie,
Où le faisceau de la lumière
Recouvre le toit,
De ma demeure orpheline, vivant le silence
Sans aucun bruit, ni hurlement
Que la douleur et la souffrance
Ont fait couler les larmes du vent!
C’est l’heure de sentir l’odeur de la vie,
Parfum de rose et de jasmin
Comme celle du paradis
Sculpté par une étrange main
C’est l’heure de voir un nouveau regard
Une vision d’un autre horizon
Là où la solitude ne sent plus le silence !
Là où l’inquiétude se décolle de la souffrance !
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