Quand je vous vois là, tous réunis,
Je veux serrer fort ce bouquet d’amis.
On rit pour rien, c’est la preuve qu’on est bien.
Direction la joie, vite, prenons le train.
Place à la parole et que les mots filent.
Allons rejoindre la vie de ces îles.
Peuple de cet océan quotidien,
Ouvrons grand nos persiennes, offrons nos mains.
La lumière de nos cœurs nous éblouit.
Prenons ces heures jusqu’aux fins de la nuit.
Ensembles, construisons des passerelles.
Elles réuniront toutes ces îles entre elles.