Il y a encore des terres inconnues.
Des endroits qui sans relâche nous envoutent.
Beaucoup sont bien dans leurs terrains connus.
Ils ne sont pas endormis, ils s’encroutent.
Entre tes reins je suis le bien venu.
Le paradis du ciel ouvre sa voute.
Mes doigts rient de te sentir toute nue.
Des délices rares je suis à l’écoute.
Notre fusion par Cupidon est vue.
A ma somme de bonheur tu t’ajoutes.
Je t’aimais avant de t’avoir connu.
Quand je ne ressentais que la déroute.
En toi je suis propulsé vers les nues.
Je m’envole accompagné de mes doutes.
Tu me transformes en poète éperdu.
Depuis toi, le désespoir je le boute.