Il y a des terres inconnues.
Ils sont dans leurs terrains connus.
Des endroits qui souvent envoutent.
Ils sont endormis et s’encroutent.
Entre mes reins mon bienvenu.
Tes doigts rient et me sentent nue.
Le paradis ouvre sa voute.
Des délices je suis à l’écoute.
Une fusion, Cupidon a vu.
Je t’aime, par moi tu es connu.
A ma somme tu t’ajoutes encore.
Tu le rends fou ce petit corps.
Je me sentais comme une déroute.
Je m’envole avec tous ces doutes.
Nos corps propulsent vers les nus.
Je vole mon homme, mon ingénu.
Tu me boutes jusque dans mon âme.
Je boute le désespoir comme Jeanne...