J’ai pris deux morceaux de bois et les ai posé a terre
D’un commun accord avec la nature je les ai laissé faire
Ils se sont unis en une branche dure comme le fer
Et on marqué le temps de l’amour de nos pères
La force alors s’est imposée de toute sa pureté
Rien ne pouvait plus les mettre en chasteté
Leur corps unis en une masse pure et sacrée
Pouvait franchir fièrement notre belle voie lactée
De l’amour le fer ou le bois ne sont que passage
Seule la résonance de voix divines de nos cœurs
Peut franchir la lumière noire et faire notre bonheur
Mais pour cela l’union sans faille doit être sage