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T’es tellement grande tu sais, y’a tellement d’choses à raconter.
Est-ce que je parle de toi en général ou juste de ta beauté ?
Tu m’diras ta beauté, c’est un sujet bien vaste à traiter…
C’est bon j’me lance, on n’va pas s’impatienter,
Même si la patience n’est pas ton mauvais côté.
D’ailleurs à ce propos, tu l’as surement cherché,
Mais moi, ton mauvais côté j’l’ai toujours pas trouvé.
Ce texte ne sera pas parfait, j’préfère te prévenir.
Il y aura des fautes d’orthographe de grammaire et d’autres biens pires.
Mais depuis trois ans t’es là dans ma ligne de mire,
Alors j’me jette à l’eau, personne n’viendra me secourir.
Surtout qu’avec les textes d’amour t’as pas l’droit à l’erreur,
Chaque mot doit être pensé, pesé, reposé en y mettant du cœur.
Je sais qu’c’est un peu trop tard, c’est plus vraiment l’heure,
Mais maintenant place au show, place à l’horreur…
J’me suis levé un Mercredi, le 7 Octobre 2009,
Un mercredi normal avec de la danse en dernière heure.
J’arrivais là-bas avec un cœur tout neuf,
J’ai croisé ton regard mais ce n’était pas le coup de cœur.
Le coup de cœur est venu le week-end vers 23 heures,
J’étais en train de réfléchir et d’imaginer la femme parfaite.
Lorsque ton regard est revenu avec une immense chaleur.
Mais j’n’y croyais pas, j’me disais « faut qu’t’arrêtes ».
« Cette fille n’peut pas exister ! » même si j’étais sûr de t’avoir vu.
Assez grande, les cheveux lisses, t’étais plutôt Belle-Gosse.
Mais quand j’ai imaginé la perfection j’en suis resté « sur l’cul ».
Et encore j’te pensais de marbre, solitaire, telle un colosse.
J’te regardais discrètement à la récrée, mais on m’disait « rêveur ».
J’étais triste et déprimé, j’pensais que tu n’me voyais pas.
J’avais des maux de tête aux bras, j’avais des courbatures au cœur,
J’n’étais pas bien, en plus ca m’donne des maux de cœur.
#Slam 2012 par S.D compositions
Pour toi qui es toujours là pour moi...
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