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Un souffle d'amour
Une brise légère se leva sur l’étendue de sable
Bousculant tes cheveux avec douceur
Révélant ton visage de soie, affable
Et les embruns des vagues qui se meurent
L’océan devant nous, ce champ aquatique
Berçant nos yeux par de fines mélodies
Poussant nos corps à se rencontrer, magnifique.
Volupté, adresse, l’allégresse d’une symphonie
Nos deux corps sur le sable s’enlaçant sans fin
Réveillèrent la passion tapissée au fond de moi
Et tu me chuchotais des mots d’amour, j’étais serein
Et je te caressais le visage, tu me regardais avec un certain émoi
Tel que Shakespeare et son Hamlet l’a suggéré
Etre ou ne pas être avec toi telle est la question
Je voudrais que tes yeux soient l’antre de tous mes secrets
J’aimerais m’enivrer de toi jusqu’à en perdre la raison
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