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Un jour peut-être…
Un ami m’a dit que l’amour était merveilleux
Qu’il valait mieux atteindre les cieux
Même si l’amour n’est pas éternel
Ses sensations ont le mérite d’être réel.
Et que nous chantons son hymne
Lorsque sa lumière nous illumine.
Je le regardais perplexe
Car aujourd’hui fuir est mon réflexe.
Il semble si convaincu
Quant à moi je m’avoue vaincue
La douleur est encore présente à mon cœur
Les larmes se sont taries mais reste la peur.
Il est vrai que son souvenir enivre mon âme
Y gouter et il devient ma came
Mais le sevrage forcé est un crime
Il t’arrache une partie et la crame.
Cette blessure tu la traîne
Et ton euphorie elle te l’emmène
Espérer qu’elle cicatrise
Est un doux rêve qui me brise
A chaque réveil la réalité me brutalise
Ton idéalisme me séduit
Mais je me retire sans bruit
Un jour peut-être…
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