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Le souffle du vent fesait volait mes cheuveux.
Me donnant l'impression de volé.
La mer à l'eau turquoise envahissait l'horizon.
L'écume banche se briser sur les rochers.
Le parfum de la mer me chatouillait les narines.
De la cîme de l'arbre dans lequel j'était percher,
Je pouvais admirer un paysage paradisiaque.
Les mouettes me survollaient, et emportaient tout mes ennuis.
Ici, un jour, j'y retournerai,
Et j'espère cette fois ci,
Y ètre à tes cotés.
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