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Quand je l'ai vu arriver,
Je n'ai pas pu le regarder
Les yeux j'ai vite détournés
Sans savoir pourquoi je le faisais.
Quand plus tard dans la soirée,
J'ai vu sa chemise déboutonnée
Montrant ses muscles développés
Je ne m'y suis pas attardée.
Quand elle m'a poussé à danser,
En me "prêtant" son cavalier
J'ai sentis la gêne m'emporter
Et ses bras qui me faisaient tourner.
Quand dans ce slow imposé,
A ses bras je ne m'abandonnais
Sûre des yeux qui me fixaient
Et de la gêne qui m'accablait.
Quand dans ses bras je me tenais,
La tête j'évitais de tourner
Coupable ou bien intimidée
Par son torse bien dessiné.
Quand j'ai su qu'il me plaisait,
J'ai cru que je m'effondrais
Car la confiance qu'elle m'accordait
Etait violée par mes pensées.
Quand j'ai fini par remarquer,
Qu'à me faire rougir il s'amusait
Je me suis enfin demandée
Si c'était un homme rêvé.
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