Je ne savais plus ce que vibrer voulait dire.
L’insouciance et la joie narguaient tous mes sourires.
Et te voilà, toi qui sais tutoyer mon âme.
Ton regard me redonne le bonheur et le calme.
Quand mes yeux plongent dans tes yeux, je meurs de désir.
De cette belle mort couleur de plaisir.
Rien que le parfum de ta présence m’enivre.
Pourrai-je encore sans toi avoir l’envie de vivre ?
Le futur chasse le passé et j’ai le vertige.
Et voilà, je ne sais plus, je t’aime, que dis-je ?
Dans le jardin d’un autre pousse une fleure exquise.
Une brise chaude me parvient quand tu respires.