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Poème Sur notre ïle ...

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Ecrit par Jeanannecy le 14/12/11 et lu par 1213 personnes.
Ce texte est un poème amour .
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Sur mon île avec toi

 

Je reste sur la plage à étudier le  large,

Isolé à jamais , à vivoter en marge,

Attendant chaque instant un signe venant de toi,

Me torturant toujours  me demandant pourquoi.

 

Pourquoi es-tu parti par un beau soir d’été ? 

Cet envol brutal, était-il  souhaité ?

Reposes tu  enfin dans ton  éternité ?

Regrettes tu parfois de nous avoir quittés ?

 

Je voudrais que tu vogues  là-haut dans les nuages

Que tu ne me vois pas  sur mon  île de naufrage

Où je suis  condamné à terminer ma  vie

Exilé loin de toi , esseulé , en survie.

  

J’ai mis dans mes bagages ta photo, ton sourire,

Je regarde le ciel , j’ai les nuages à lire, 

Un jour  viendra peut-être où s’écriront les mots

Que nous n’avons pas dits, tu es parti si tôt …

Sur mon île avec toi

 

Je reste sur la plage à étudier le  large,

Isolé à jamais , à vivoter en marge,

Attendant chaque instant un signe venant de toi,

Me torturant toujours  me demandant pourquoi.

 

Pourquoi es-tu parti par un beau soir d’été ? 

Cet envol brutal, était-il  souhaité ?

Reposes tu  enfin dans ton  éternité ?

Regrettes tu parfois de nous avoir quittés ?

 

Je voudrais que tu vogues  là-haut dans les nuages

Que tu ne me vois pas  sur mon  île de naufrage

Où je suis  condamné à terminer ma  vie

Exilé loin de toi , esseulé , en survie.

  

J’ai mis dans mes bagages ta photo, ton sourire,

Je regarde le ciel , j’ai les nuages à lire, 

Un jour  viendra peut-être où s’écriront les mots

Que nous n’avons pas dits, tu es parti si tôt …

Je reste sur la plage à étudier le  large,
Isolé à jamais , à vivoter en marge,
Attendant chaque instant un signe venant de toi,
Me torturant toujours  me demandant pourquoi.
 
Pourquoi es-tu parti par un beau soir d’été ? 
Cet envol brutal, était-il  souhaité ?
Reposes tu  enfin dans ton  éternité ?
Regrettes tu parfois de nous avoir quittés ?
 
Je voudrais que tu vogues  là-haut dans les nuages
Que tu ne me vois pas  sur mon  île de naufrage
Où je suis  condamné à terminer ma  vie
Exilé loin de toi , esseulé , en survie.
  
J’ai mis dans mes bagages ta photo, ton sourire,
Je regarde le ciel , j’ai les nuages à lire, 
Un jour  viendra peut-être où s’écriront les mots
Que nous n’avons pas dits, tu es parti si tôt …
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