Sonnet à mon doux damoiseau
Dans ce fabuleux miroir, de lueurs brisées,
Ce doux visage éblouit, d’un éclat galant,
Quand il laisse, en ces émois du revers offrant,
Accueille en la vie où les dentelles irisées.
Perdurent en secret, l’union de ces risées,
En son for intime émeut son fidèle amant,
Elle espère où, dans l’espace ainsi vieillissant,
Portera la tendresse en ces heures amusées,
Nous parlerons, de notre amour aux alentours,
Effeuillant parfois, l’album de nos si beaux jours,
N’oubliant onc. Ô ! Combien mon doux damoiseau,
Et nos jours, ne courtiseront pas la tristesse,
Car, les souvenirs s’éloigneront sans détresse,
Nous toucherons le proche Éden sans nul écho.