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Il s’invite comme souvent, se doux parfum de nostalgie
Senteurs aux mille bonheurs se déversent dans mon flacon
Juste une brise éphémère le souffle de mes rêves
Des souvenirs en larmes qui glissent et se perdent
Ces délices de caresses et de baisés
Noyé par les eaux froides de mes abysses
Indomptable fauve nourri de possession
Un cœur amoureux et destructeur
L’amertume se dessine, un tableau noir puis rouge
Coupable et condamné , jugé de souffrance
Des regrets, comme des lames dans ma poitrine
La douleur pour m’excuser et des larmes pour oublier
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