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L’aube naissante d’un jour de printemps dévoilait une nature paisible ou toutes les effluves ravivaient mes sens et m’invitaient à flâner le long des chemins.
Quand au hasard de ma promenade, un piaillement attira mon attention et je découvris un petit oiseau blessé que je m’empressais de soigner.
Les jours passaient et mon petit oiseau, par sa gaité m’avait empli d’un immense bonheur.
Par une brise légère, il prit son envol et me laissa face à ma solitude.
Le vide qu’il laissa dans mon cœur fût si grand que je perdis toute ma joie de vivre.
L’été arriva et oh surprise, un doux chant m’enivra, le petit oiseau était sur le bord de ma fenêtre.
Depuis ce jour, sa sérénade berce mon cœur tous les matins et je réalise enfin que l’amour est impérissable.
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