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Pouvoir te caresser d’une douce brise,
Me perdre au fil de tes cheveux
Et te murmurer la tendresse du printemps.
J’aimerai jaillir comme l’eau vive
D’une source pour déposer sur ton coup
Un collier de perles éphémères
Tel la rosée qui baigne l’aurore.
Quoi de plus enivrant que le parfum
Qui enveloppera ta peau d’ange,
D’un peu d’amour et de tendresse,
D’un peu de rêve et d’espérance.
Parfum d’amour empoisonné
Que je ne cesse de consommer,
Chaque jour qui passe, l’amour me tue,
La mort me semble douce à tes côtés.
Envoûtante senteur de jeunesse,
Ta fraîcheur me nuit et conspire à me nuire,
Mettant à mort mes dernières volontés ;
Je ne peux que me laisser séduire.
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