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Dehors c’est une pale grisaille
Une torpeur grise et lancinante
Froid pinçant comme une tenaille
Et quelques plaques de neige fainéantes
A l’intérieur, la douceur d’une couche
Loin derrière les vitres embuées
Les caresses de sa bouche
La braise de nos corps noués
Les yeux posés sur son sourire
Et force d’amour et d’envie
Les reins cambrés, sans retenir
L’essence même de la vie
L’extase au bout du chemin
Ou toute force nous abandonne
L’amour, cet éternel refrain
Qui a chaque fois nous étonne
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