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Poème les bleuets de l'amour

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Ecrit par jlplg le 06/10/11 et lu par 1011 personnes.
Ce texte est un poème amour .
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Les bleuets de l'amour

 

 

Je regarde la nuit dans ton chagrin d'enfant

A peindre sur ton cœur ces bleuets de l'amour

Pour effacer de ton âme les pleurs restants,

Embrassant les étoiles quand se couche le jour.

 

Dans ton rêve, guidée par tant de beaux espoirs,

Elle explore ta vallée aux sources inconnues,

Passant de Charybde en Scylla, ombres du soir,

Giroflée agaçant tes soupirs retenus.

 

L'essence de la rosée sur ton front humide

Rafraîchit ton songe qui ne vit que pour moi

Dans l'unique bonheur d'effacer ces rides

A l'angle de mes yeux où tu pêches ton émoi.

 

Et si tes draps froissés comme les larmes du jour

S'enivrent toujours de ton parfum subtile ,

Ils sont seuls privilèges de ton secret amour

Et gardent dans leurs plis ton repos si fragile.

 

Quand cette marée haute enfin aura atteint,

Dans sa houle magique les perles de tes yeux

Pour couler un peu folles au creux de tes reins

De brumeuses vapeurs voileront tes cheveux.

 

Apaisée de mon souvenir tu dormiras

Enlaçant les étoiles dans ton rêve d'enfant,

Muette, songeant demain que la nuit viendra

Troubler ta solitude sous l'empreinte de mes ans.

 

Les bleuets de l'amour

 

 

Je regarde la nuit dans ton chagrin d'enfant

A peindre sur ton cœur ces bleuets de l'amour

Pour effacer de ton âme les pleurs restants,

Embrassant les étoiles quand se couche le jour.

 

Dans ton rêve, guidée par tant de beaux espoirs,

Elle explore ta vallée aux sources inconnues,

Passant de Charybde en Scylla, ombres du soir,

Giroflée agaçant tes soupirs retenus.

 

L'essence de la rosée sur ton front humide

Rafraîchit ton songe qui ne vit que pour moi

Dans l'unique bonheur d'effacer ces rides

A l'angle de mes yeux où tu pêches ton émoi.

 

Et si tes draps froissés comme les larmes du jour

S'enivrent toujours de ton parfum subtile ,

Ils sont seuls privilèges de ton secret amour

Et gardent dans leurs plis ton repos si fragile.

 

Quand cette marée haute enfin aura atteint,

Dans sa houle magique les perles de tes yeux

Pour couler un peu folles au creux de tes reins

De brumeuses vapeurs voileront tes cheveux.

 

Apaisée de mon souvenir tu dormiras

Enlaçant les étoiles dans ton rêve d'enfant,

Muette, songeant demain que la nuit viendra

Troubler ta solitude sous l'empreinte de mes ans.

 

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