Ô la vie, cette étincelle éphémère !
De bonheur, de malheur, d’espoirs et de chimères
l’être orgueilleux continu d’avoir tort
Et n’en conçoit l’inanité qu’au moment de sa mort !
Parcourant la portion de son temps tel l’éclair
Qui disparaitra quelque part dans l’espace
l’être partira seul, laissant tout sur la terre
Et Même ses souvenirs s’oublieront et s’efface,
Ainsi la vie cette succession des scènes
Disparaitront aussi au fil du temps.
Et la vie que l’on croit vraiment éternelle
N’est qu’une poussière et onde du vent !
Mais au-delà de tout, la vie restera magnifique
Voir cette rose blanche princesse des fleurs
Et ce champ d’amour puissant et énergique
Qui endurera les amoureux sans crainte ni peur !