L’espoir
Qu’en est-Il ? Ce monde attendu !
Dans mon âme en vain qui l’espère.
L’ultime idylle est mon repère.
Il s’enfuit vers toi l’inconnu,
Où mon tendre en ce jour venu,
De notre rencontre et ne cesse
Ta douceur des mots sans détresse,
La déraison, nul doute, à nu.
L’océan sépare, étendu,
Qui ne peut tenir l’allégresse,
De ma passion la maîtresse,
L’espoir est dans l’inattendu.