Quand j’étais dans tes bras, je me croyais si pur.
On s’est quitté, je suis tombé, c’était très dur.
J’ai marché tel un mendiant parmi les ordures.
Maintenant, de presque plus rien je ne suis sûr.
Quand je suis dans tes bras, ton amour me capture.
Je vois ce dessin, la vie, formidable épure.
Oui je le sens, tu me caresses, tu me rassures.
Auprès de toi je veux regarder le futur.
Mais tu as tellement besoin d’un mec qui assure.
Je cours encore dans la forêt du roi Artur.
Enlèverai-je les éperons de mes chaussures ?
J’ai trouvé le talon de verre à ma mesure.
Je t’emmènerai un jour dans notre masure.
Te cajoler sans jamais connaître l’usure...