Hédonisme
Aux portes de l’enfer, j’ai croisé ce regard,
Et tes mots susurrés ont laissé ce frisson,
Sur la peau le désir, l’aveu sans plus d’égard,
Du plaisir que ne crée en cette impulsion
En nos accords des reins précision lyrisme,
Balayant dès l’instant, en nos corps de l’ivresse,
Donne à la volupté de douceur hédonisme,
Ravive au crépuscule en damnant ma faiblesse,
Otant la conscience en pleine évasion,
L’imagination régnant seule en maîtresse,
De l’envie assouvie où la sensation
Comblant cet appétit et vouant l’allégresse.