Je vois la vie et ses abus.
Avoir envie est un début.
Je ramais sur ces jours sans fin.
Des autres je n’avais pas faim.
A présent je tressaille, je vis.
Maintenant, toujours je souris.
Ce ne peut être que pour toi.
Je sais maintenant le pourquoi.
Même derrière l’armoire tu me hantes.
Plus besoin des gens qui se vantent.
Ton corps me fait vibrer d’émoi.
Je te veux toujours près de moi.
Le son de ta voix me rassure.
Ta musique m’embrasse, me susurre.
On se réfugie sous la laine.
Rien n’est meilleur que ton haleine.
D’une braise tu fais naître un feu.
Il éloigne de nous les affreux.
Un Flambeau éclaire l’infini.
A la fin et après unis.