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J’ai bien remarqué cette trace de morsure,
Tout comme ta fatigue et ces petites griffures,
Jalouse et frustrée, je ne peux que me taire,
Car de mon coté, je ne peux pas en faire.
Quand je te fais l’amour, je dois me limiter,
A des douces caresses et des tendres baisers,
Je n’ai pas le droit de laisser des traces,
Car de mon passage, il faut que tu efface.
J’ai bien entendu ton téléphone sonner,
Mais comme d’habitude, je ne doit pas me fâcher,
Car après tout, je suis celle qui s’incruste,
Ainsi je n’ai pas droit à ce qui semble juste.
Car dans le clandestin il n’y a pas de plainte,
Il y a milles bonheurs et beaucoup de crainte.
Il faut se contenter des moments volés,
Sans avoir le temps, d’encore nous chamailler.
J’ai tout entendu de ta conversation,
Pleine de belles promesses et beaucoup de passion,
Une pointe de jalousie a fait rage dans mon cœur,
Des cris de désespoir, déchirures et pleurs.
La prochaine fois que tu parle sur ton téléphone,
J’irai me réfugier loin, dès qu’il sonne,
La femme de ta vie, je ne serais jamais,
Mais tout bien réfléchis, c’est plus que parfait.
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