Poème drôle de sentiments,

Je ne sais pas comment mon bébé t’aimer, avec autant de distance qui nous sépare…Je ne sais pas si j’en suis capable, et à coté de ca je te vois… Toi, te battre y croire, de toutes tes forces et tu t’efforce de me prouver chaque jour a quel points ton amour est grand pour moi. J’ai tellement de peine de ne pas pouvoir t’apaiser, t’offrir notre premier baiser, regarder le fond de tes yeux…Un arc en ciel de lumière ! Sécher  toutes ses larmes verser pendants toutes ses nuits, ses minutes passés loin l’un de l’autre. Le temps tu les sentiments.

La déception d’une rencontre qui n’a jamais eu lieu… ! La peur qu’elle ne se fasse jamais m’envahis, chaque fois que mon souffle ce coupe, chaque fois que je réalise que tu es celle que mon cœur a choisi…Je le sais car j’ai mal de ton absence, le froid remplace le chaud, seule toi peut arriver à raviver, cette flamme dans mes yeux ! Seule toi peux faire encor battre mon cœur. Tu me prouve tellement, tu me manque tellement, je te veux  tellement …Enfant de la guerre, l’âme d’une battante, tu as un si beau visage, mon ange… ! La peau douce et blanche la colombe s’envol, que le ciel la dépose sur la branche de notre amours. Je rêve de se jour depuis les premiers jours ou j’ai vu en toi… L’être pure, la force et la détermination mais aussi la douceur des mots qui touche mon cœur, la volonté d’aimer sans compter, sans penser au risque du mal que tu peux en courir… ! Je  trouve que tu es une femme exceptionnelle, un humour juste parfaitement en adéquation avec ton intelligence…tu es si délicieuse, si gentille c’est dure d’être loin de toi… On c’était tellement promis de se voir ! Tu devais venir se fameux samedi matin 12 juin 2010, j’ai encor en tête, la veille... Notre journée au téléphone

Tu te souviens hein … ! Ses fous rires qu’on avait pour un tout ! , ses mots doux qu’on se disait tout doucement au creux du téléphone, cette émotion qui nous envahissaient, une sensation de légèreté, de bien être, on arrêté le temps, par nos penser, on pouvait ressentir la chaleur de nos corps, de plus en plus chaud …Nos mots sont de plus en plus fort en émotion, les yeux fermer toi et moi main dans la main, tes lèvres sur les miennes, je pouvais ressentir ta douce respiration, tu m’ as envouté par ton charme, tu me rends fou de toi par tes mots.

Mais dis moi se couteau que l’on a planté dans le cœur, a cause du manque ! Va t’on un jour pouvoir s’en libérer, ne plus sentir le mal que contient tous les doutes de notre rencontre, va t’on pouvoir s’aimer comme chaque jour  nous l’écrivons, avec autant de liberté…

Princesse n’oublis pas montre moi la voie ! Tu es vouée a n’épouser qu’un seul homme cela fait partie de toi d’ ou ta capacité a être patiente en amour… Ici ce n’est pas le cas ! Guide-moi… J’ai peur de péchait, il m’est difficile de le vivre, même si je le veux, même si je sais que mon cœur ne veux plus que toi ! L’homme parfois pense vite, mal et agis sans réfléchir. Je ne le veux pas ! Tu es bien trop honnête pour que je te fasse du mal ! De toute façon sa se retournerais contre moi ! Donc je suis paralyser de peur de t’aimer…Car je doute qu’un jour notre histoire puisse enfin voir le jour, malgré que j’espère… Que tu seras m’aider à me diriger jusqu’ a toi.

Je t’aime princesse.