Liens commerciaux: @ |
Douceur de tes ailes
Une lumière vivace me brulait le visage
Alors que je marchais avec en tête une image
Si belle qu’il m’arrivait de temps à autre de trébucher
Eblouit et émerveillé par la vue d’une rare beauté
Mes pas continuaient à s’additionner aveuglément
Jusqu’à ce que la belle me surprenne soudainement
Effaçant subitement tous les doutes présents en moi
Eveillant une certaine sensation, un certain émoi
Tu étais l’hirondelle ; intouchable car œuvre de perfection
T’enfuyant au premier regard dénué de raison
Pendant une période je suis resté là à te contempler
Déchiré par l’envie de m’élancer à tes côtés
Tu sais, peu m’importe le temps qui passe
Je ferais tout pour que de moi tu ne sois pas lasse
Tu as transformé un homme aux milles désarrois
Alors s’il te plait, ne t’envole pas sans moi
|