Liens commerciaux: @ |
Fillette que je vois toujours,
Mitrailleuse tuant mes jours.
Nos corps embrassent les détours.
Nous vivons pour ce grand retour.
Plus qu’avant, cette faim de toi.
La fin gommée de notre loi.
Tu m’a fais redouter la peur.
Croire être le mauvais acteur.
Mai souffle tes baisers d’ailleurs.
Juin toi à moi, à ces bonheurs.
Pas de doute, épousons nous.
Mon ombre te voit à genoux.
Notre temps reconstruit cette heure.
Des minutes dans la saveur.
Le début commence, un cri.
Nos regards croisent cette vie.
Chemin au loin et la faute.
Nous et même pas les autres.
Je te regarde ma pucelle.
Tu n’as pas voulu être c’elle.
Cavalier, moi sur de toi.
Un nuage pleut notre émoi.
Voir tes yeux et déjeuner.
Ta bouche, tes fesses et je nais.
Des fraises d’un poison qui tue.
Je suis le roi de t’avoir vue.
Encore ce rêve qui nous voit.
Quand je te touche, je te crois.
Tu danses quand je me retiens.
Là, on pense que tout est bien.
Ma bien aimée mais jamais trop.
J’entre en toi dans ce grand galop.
J’avais compris quand je t’ai vu.
Déroute mais cette avenue.
Un défilé et quelques filles.
La music et tu te méfie.
N’ayons plus peur de nous ma fille.
Des corps se parlent et ça file.
Même la fatigue j’adore.
Loin de tes yeux est un dehors.
Je veux encore ces corridors.
J’ai habité où je t’adore.
Verse décembre et l’amour.
Berce le froid et toi mon four.
Quel été pour moi cette belle.
Aucuns besoins si ce n’est d’elle.
|