J’en suis convaincu, il existe.
J’emprunte trop peu souvent sa piste.
Tes yeux me l’ont dit, ces lueurs.
Il nous tient enfin, le bonheur.
Même si c’est la réalité,
Même si tous ces gens sont mauvais,
Même si la vie est un passage.
Je t’en prie, ne soyons pas sages.
Tant de portes nous sont grand ouvertes.
Marchons sur cette canopée verte.
Il suffirait parfois d’un geste.
Imaginer ces dieux célestes.
Croquons la pomme à pleines dents.
Ne freinons pas tout notre élan.
Pour moi, deux est égal à un.
Viens et donnes-moi tes deux mains.
Chérissons-nous sans restriction.
L’amour n’est pas une fiction.